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Kamal El Abdi - كمال العبدي




Kamal El Abdi - كمال العبدي : chanteur de chaabi marocain. bnimllal khoribga azilaz kalaa

Statia - ستاتية


Statia - ستاتية : chanteurse de chaabi marocain.

Hajib - حجيب


Hajib - حجيب : Hajib est un chanteur de chaabi marocain.

Hamid Zahir - حميد زهير


Hamid Zahir - حميد زهير : Hamid Zahir ou Hamid Azahir un chanteur marocain né a marrakich en 1956

Jedwane - جدوان


Jedwane - جدوان : Né à Rabat d'un père marrakchi et d'une mère fassie, El Mokhtar Jedwane a baigné depuis son enfance dans l'atmosphère musicale des deux origines riches par elles-mêmes en sonorités et en répertoires populaires.
Les débuts de sa vocation de chanteur peuvent se situer à partir de la décennie 80 à la suite du formidable engouement pour le courant des années 70 (Nass El Ghiwane, Jil Jilala, Lemchaheb) ; il était également touché par les chansons en vogue telles celles de Ziani, Boutbol ou Hamid Zahir.
Vers la fin de 1983, Jedwane créa son orchestre (des violons, la batterie, une guitare électrique, un orgue électronique) et se produisit surtout dans les fêtes privées ou publiques de Rabat et de Salé, une plate-forme qui a attiré un producteur de la place et qui a valu à Jedouane quelques années plus tard, un premier contrat d'édition.
Les productions se sont succèdées puisque en 1987 il édite son premier album "Ana lamsikina" inspiré d'une chanson du Golfe arabique.
Ce fut un succès inespéré ; sur les 7 chansons de l'album, 4 sont déjà des créations de Jedwane (paroles et musique).
Ensuite un deuxième album est sorti en 1988.
C'est l'occasion pour lui de présenter une chanson aux allures patriotiques "Janna, janna, maghrib ya watanna".
En 1989 "Ba'a-âd man lahram wah ya rrajel" (Eloigne-toi de l'illicite) est accueillie avec indifférence au Maroc, mais reprise en France par une certaine Sabah avec un énorme succès en audio et en vidéo.Puis en en 1990 "Jabha lwaqt" clôture la première phase de la carrière de Jedwane.
De 1987 à 1990, Jedwane a donc produit 4 albums (à raison d'un album par année) ; après cette première période, il se consacre à "autre chose" : entre autres, la préparation de son baccalauréat (qu'il obtient en 1987) puis un DEUG de droit.
Pendant trois ans , il aurait à peine enregistré une cassette vidéo en 1992.
En 1994, un nouveau départ a été préparé par la sortie à la fin de 1983 de l'album "Moul taxi", ce départ marque le souci de Jedouane à travailler des rythmes composés et alternatifs comme dans l'album "Khallitni nsaïn". La musique de Jedouane est fortement influencée par son écoute de ténors de la chanson moderne marocaine tels Brahim Alami ou Abdelkader Rachdi, mais aussi un court passage dans les classes de solfège du Conservatoire de Rabat a pu le sensibiliser au travail de réflexion sur la rythmique.
"Khallitni nsaïn" est un véritable succès, et la chanson est reprise dans toutes les fêtes dans tous les coins du Maroc.
Personnage à la douceur satinée, Jedwane figure parmi les rares artistes qui renouvellent le style chaâbi marocain. Professionnel jusqu'au bout des doigts, son show et sa voix de miel agissent comme un baume sur les cœurs tendres et une nuée de jeunes filles lui réclament des autographes à la fin du concert."Je joue du chaâbi moderne. Mon groupe mélange instruments traditionnels et européens : batterie, synthétiseurs, violons, guitare et basse électriques, saxophone et percussions traditionnelles (bendir, derbouka et tar andalou). Je compose la plupart de mes chansons, ce qui est assez rare au Maroc dans ce style populaire. Exceptée Najat Aatabou, les chanteurs de chaâbi reprennent généralement des airs anciens. Nous jouons des gammes orientales, qui contiennent des quarts de tons, mais aussi des gammes occidentales sur les rythmes de base de la chanson marocaine en 6/8 et en 12/8. Si le temps fort est sur le premier temps dans les musiques occidentales, chez nous, on peut mettre les temps forts sur le troisième et le cinquième temps, dans le cas du 6/8, puis sur le huitième et le onzième temps, dans le cas du 12/8. Ce genre de rythmes composés sont une des grandes spécificités de la musique marocaine."
Depuis janvier 1996, Jedwane se produit régulièrement en Europe : Belgique, Pays-Bas, Allemagne, Espagne, Italie, et surtout en France, où il a chanté notamment sur les scènes de plusieurs Zéniths et de Bercy. En 2000, il fait une première tournée américaine : New York, Washington, Montréal… Très sollicités pour les grandes soirées de mariages, il est capable, avec son groupe, d'assurer jusqu'à quatre heures de spectacle : " une partie de deux heures de musique arabo-andalouse pour le dîner, par exemple, une partie chaâbi, une partie raï et parfois même quelques morceaux occidentaux au moment de la pièce montée."
Jedwane devient une véritable star nationale. Il est très sollicité pour animer les mariages ou fêtes familiales de tout genre. C'est la période où il commence à se produire en France et en Belgique pour satisfaire la demande de la communauté marocaine sur place. De toute sa démarche peut se dégager une ambition d'élever le niveau musical du chaâbi sur les plans thématique, rythmique et mélodique ; nous sommes donc en présence d'un style élégant et "chic". Il tient, tout en respectant la contrainte du marché, à proposer une nouvelle thématique pudique et réaliste en reprenant à partir de 1996 le chemin des studios : en 1996, "Chkoun kan sbab", quelques "hagouzat" du Moyen-Atlas puis en 1998, "Bghini nebghik" où il insère sa nouvelle chanson en "tachelhit" "Ourigh amma lma'qoul" (elle a nécessité 8 mois de préparation avant d'être réalisée).
En 1999 il sort son album "Sarhini" comprenent 9 chansonnettes organisées sur le principe du cycle ou "wasla" (2 cycles en tout) avec à la fin de chaque cycle une chanson indépendante. Jedwane a continue sa carrière et ses tournées en France, en Belgique, aux Pays-Bas, au Canada, en Allemagne, au Danemark, en Italie et la grande soirée du Palais des Sports à Bercy le 1er janvier 2000 devant 18.000 spectateurs dans le cadre d'un plateau d'artistes marocains et arabes.Puis il entame sa premiere tournée américaine:New yrok,washington,montréal ou il a connu un grand succés notament auprés de la communautée juive marocaine.
En 2001 il sort l'album "chahdou alih".Son tout dernier album qui connait biensur un grand succés s'intitule "moul nya".

Khalid Bennani - خليد بناني


Khalid Bennani - خليد بناني Khaled Bennani est chanteur marocain

Zina Daoudia - زينة الداودية




Zina Daoudia - زينة الداودية : une chanteuse marocaine né en 1980 a safi , originaire de settat une chanteuse de chaabi 100%

Cheba Nabila - الشابة نبيلة


Cheba Nabila - الشابة نبيلة une chanteuse marocaine né en 1979 a berchid a loriginal de settat une chanteus de chaabi 100%

Najat Aatabou - نجاة اعتابو

Au Maroc, la Berbère Najat Aatabou, grande star de la chanson populaire châabi au royaume de Mohammed VI, tient une sorte de courrier du cœur, s’inspirant " des lettres, très nombreuses, que je reçois des femmes qui m’écoutent puis me racontent leurs problèmes. Et je les résous en chantant.
"Et quels sont les douleurs des femmes marocaines ?" Comme partout, des blessures d’amour. Des maris infidèles, des foyers parallèles, des mensonges. " Comment cette infatigable joueuse de mots, alignant des strophes (en arabe, parfois en tamazight, l’une des trois langues berbères du Maroc) comme une rappeuse du Bronx, traduit-elle ces blessures ordinaires ? " Eh bien, par exemple, j’ai une chanson, Souerret (Ces clés sont à qui ?). La femme prend le trousseau du mari, et passe en revue les clés les unes après les autres, la porte d’entrée, le garage, le bureau, et l’une ne correspond à rien... "
Femmes trompées, jalouses, jamais soumises, telles sont celles qui peuplent l’univers des chansons écrites par Najat Aatabou, qui fustige " l’homme qui ment toujours ", inventant travail et réunion, ou celui qui abandonne son épouse enceinte en prétextant que l’enfant n’est pas de lui. Au passage, elle s’en prend aux maîtresses, et cela fait un tube, Choufi Ghirou (Cherches-en une autre). Du groupe-phare de l’opposition marocaine, Nass-el-Ghiwan, elle dit simplement : " Eux, ils font de la chanson engagée. " Chapeau à large bord, maquillage impeccable, manteau à motifs panthère, Najat Aatabou promène des allures de star, légitimement. Enceinte, la " lionne de l’Atlas " a momentanément abandonné ses tailleurs-pantalons de cuir noir, au profit d’une robe de velours cernée de perles. A quelques jours d’un retour à l’Olympia, où elle avait fait ses débuts français en 1984, Najat Aatabou revient sur un parcours qui l’a menée de sa ville natale de Khemisset, dans le Moyen Atlas, au triomphe. En 1981, Najat Aatabou chante dans un mariage une chanson inspirée d’une histoire vraie : une de ses amies part en voyage, et à son retour son fiancé est mort. " J’en ai marre, j’en ai marre ", psalmodie la jeune femme.
Dans l’assemblée, un joyeux bootlegger enregistre secrètement la voix vibrante de Najat Aatabou. Quelques semaines plus tard, alerté par la radio et les cassettes pirates, le petit peuple marocain fredonne la chanson de cette inconnue dont on ignore le visage, le nom, l’identité. Najat entend sa voix par hasard en faisant ses courses. Sa famille aussi. " Je n’étais pas contente, dit-elle aujourd’hui. Je voulais faire des études, devenir avocate, mais... mektoub. Je suis tombée malade, clouée au lit. J’étais terrorisée par la réaction de mes frères. Chanter, pour une femme, était synonyme de mauvaise vie. " Najat se réfugie à Casablanca, et signe un contrat avec les éditions musicales Hassania. Bannie pendant plus de trois ans par sa famille, elle en fait une chanson, Ma mère qu’est-ce que j’ai fait ? Excuse-moi, c’est le destin qui nous a séparées, qu’elle vient de reprendre en duo avec Neneh Cherry. Najat Aatabou n’est pas à proprement parler une chikha, chanteuse traditionnelle à la parole libre, à l’instar des chikhates du Moyen Atlas. Celles-ci incarnent une tradition paysanne où le rythme est donné par le bendir et la mélodie appuyée par le luth lotar, tandis que Najat Aatabou en provoque le dévoiement urbain, synthétiseur et électrification en conséquence

Said el botoula chaabia


Said el botoula chaabia : Chanteur de chaabi connu à Casablanca sous le nom de Said el Ahna ou Said el botoula.Il a une sublime voix il joue sur l'aiguson chaabi est très varié et très attirant à la vue de personnes aimant le chaabi.
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Said Senhaji


Said Senhaji : La grande star du chaabi marocain,"aoud derdek zid derdek","litim","matt ba macheftouch","mimti lemima".....etc said reste des meilleurs artistes marocain qui presente la chanson chaabi dans les plus grands scène du monde avec le meilleur batteur du chaabi au maroc "al geunaoui" et avec al "ferka senhajia" qui contient tarik beradad,al issaoui,hicham maache et le petit frère de al geunaoui youness ,et avec les instruments modernes ,said a transformé le chaabi a une chanson mondiale que tous peut l'écouter...aprés son premier succes "aoud derdak" et "lammima" said a participé à plusieur scène europienne (paris, marseille, lyon, madrid, amsterdam, bruxelle, milano, torino,quebec,montreal,wachington,new jerzy..)said a bien presenté le maroc dans le monde entier.
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